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FICHE PRODUIT
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Nous sommes encore au cœur de l’hiver et l’été semble loin pour penser déjà à un régime. Pourtant, prendre soin de sa santé mentale n’attend pas !
📱 5 heures par jour sur nos écrans (Etude de Santé Publique France et d’Université Paris 13, 2020)
📩 135 emails reçus par jour par un utilisateur professionnel (Référentiel de l’Infobésité et de la Collaboration Numérique, 2024)
🔔 Jusqu’à 4500 notifications reçues par jour (Etude de Common Sense Media réalisée sur des adolescents).
Notre cerveau est sous pression. Jamais dans l’histoire, l’humain n’a été exposé à autant d’informations. Mais à quel prix ? Fatigue mentale, stress, perte de concentration… Ce phénomène est devenu un enjeu majeur pour les organisations.
C’est parti pour plonger au cœur de ce mal du siècle, comprendre ses impacts et quelles solutions peut être mises en place pour garantir la santé mentale de vos équipes.
L’infobésité, contraction « d’information » et « d’obésité », désigne la surcharge d’informations à laquelle chacun est confronté quotidiennement. Dans le contexte professionnel, les collaborateurs sont soumis à un flux constant et très important de données, d’emails, de messages instantanés, de notifications et de réunions. Le cerveau peine à traiter cet excès d’informations, ce qui crée une fatigue cognitive.
La consommation d’informations a été multipliée par 5 en 30 ans, ce qui impacte fortement les performances et le bien-être des collaborateurs.
L’infobésité ne fait pas que nous distraire. Elle a des conséquences concrètes sur notre cerveau, notre travail et notre santé mentale.
En 2000, la durée moyenne d’attention était de 12 secondes et 20 ans plus tard, elle est passée à seulement 8 secondes (étude Samsung). Soit la même que celle d’un poisson rouge !
En cause ? Le défilement infini des réseaux sociaux, le trop grand nombre d’emails, les notifications, les multiples réunions souvent en visioconférence, les interruptions constantes…
Nous avons tous vécu le moment où l’on commence à rédiger un email, puis l’on clique sur une notification qui apparaît et l’on se rend compte quelques minutes plus tard qu’on a complètement oublié ce que l’on voulait écrire.
Un collaborateur vérifie ses emails 74 fois par jour en moyenne et passe environ 4h15 par semaine à gérer ses emails (référentiel de l’infobésité et de la collaboration numérique 2024). Ce chiffre monte à 6h37 par semaine pour les managers et même à 10h45 pour les dirigeants. Ces interruptions font perdre un temps considérable puisque selon une étude de l’Université de Californie menée par Gloria Mark, après chaque interruption, le cerveau a besoin de 23 minutes et 15 secondes pour retrouver son niveau de concentration initial.
D’autre part, un collaborateur passe en moyenne 6h30 par semaine en réunion et ces temps sont souvent l’occasion pour les dirigeants de faire du multi-tâches. En effet, un dirigeant envoie 22% de ses emails pendant des réunions participées.
Pourtant, le cerveau est incapable de gérer plusieurs tâches en même temps. Cela entraîne une augmentation du temps de traitement de chacune des tâches et le risque d’erreurs est alors plus important.
Plus les collaborateurs sont submergés d’informations, plus leur cerveau perd en capacité de filtrage. Ils deviennent dépendants des distractions, n’arrivent plus à déterminer ce qui est prioritaire, important ou urgent et leur productivité s’effondre.
Une étude récente (OpenText, 2022) montre que 40% des salariés français ressentent un stress lié à la surcharge informationnelle. Ce stress chronique peut conduire à :
Autre phénomène : le FOMO (Fear of Missing Out) qui pousse un collaborateur à vouloir tout lire, tout voir, tout comprendre immédiatement, de peur de passer à côté d’une information essentielle. Cela engendre un épuisement physique et mental, de l’anxiété et des troubles du sommeil.
E-mails incessants, réunions à rallonge, messages instantanés en dehors des horaires de bureau… Une étude conjointe de Lecko et Cog’X (2024) a montré que 10 % des salariés subissent une surcharge mentale chronique et sont exposés à des risques de fatigue cognitive accrue due à l’hyperconnexion. Ces “hyperconnectés” passent en moyenne 188 heures en réunion par trimestre, soit près de 30% de leur temps de travail !
De plus, 30% des hyperconnectés envoient des mails en dehors de la plage de travail (9h-18h) au moins 10 jours par mois, soit un jour travaillé sur 2. Cette hyperconnexion chronique engendre non seulement une fatigue cognitive accrue, mais aussi des risques sérieux pour la santé mentale et physique des collaborateurs, et pour l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
Trop de choix tue le choix !
Le psychologue Barry Schwartz a démontré que trop d’options créent de l’insatisfaction et de l’angoisse. C’est ce qu’on appelle le paradoxe du choix. Lorsque le nombre de choix augmente, il devint de plus en plus difficile de savoir ce qui est le mieux.
Face à la surcharge informationnelle, les collaborateurs vont soit :
Des solutions concrètes existent pour limiter la surcharge d’informations et retrouver sérénité et efficacité.
👉 Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir comment la digital workplace peut vous aider à reprendre le contrôle sur l’infobésité.
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