Revue du web: L’après Covid
Vers une généralisation du télétravail après la crise du coronavirus ?
Le télétravail n’est pas dépourvu de risque certes, mais la crise du coronavirus a provoqué son accélération.
Engagement collaborateur, flexibilité, meilleure productivité, et si le télétravail devenait la norme?
“C’est un fait, le remote est de plus en plus populaire. Et la crise du coronavirus a provoqué une accélération. Les entreprises sont poussées à réévaluer la nécessité de passer du temps au bureau”, analyse Jordan Caroll, fondateur de The Remote Coach
Bien que le télétravail représente un véritable cauchemar managérial pour certains, les semaines de confinement ont aussi permis de constater une meilleure efficacité et un engagement plus élevé et ont obligé “à tout mettre à plat, à clarifier, à formaliser, à mieux répartir les rôles de chacun”
Certains employés souhaitent donc l’adopter pour les avantages qu’il présente, pendant que d’autres veulent télétravailler pour pouvoir voyager. C’est le cas de Simon Martin, ingénieur vibro-acoustique chez ESI Group, qui a réussi à convaincre sa direction de le laisser partir en remote, au Costa Rica, pendant 3 mois
Cette expérience unique et forcée réussira-t-elle à changer la donne ? Est-ce qu’on devrait s’attendre à une généralisation du télétravail ?
N’hésitez pas à consulter l’article sur l’usine digitale si vous souhaitez en savoir davantage
Va-t-on vraiment vers une « nouvelle norme » de travail ?
La crise du Coronavirus a provoqué le déploiement à grande échelle du travail à distance. Bien que ce passage brusque et soudain au télétravail semble être la solution pour pouvoir poursuivre son activité, les réflexions autour de l’évolution de ce phénomène et de l’avenir du travail remontent en surface.
Le télétravail a fait ses preuves certes et bon nombre de personnes semblent conquises, mais est-ce que cela implique sa pérennité ?
Cette pandémie nous a imposé de repenser nos habitudes de travail et nos et notre organisation. Et bien que certains étaient réticents au départ, par peur de numériser les relations humaines principalement, les indicateurs d’usage ainsi que les taux d’adoption des plateformes collaboratives indiquent qu’il est peut-être temps de parler d’une nouvelle ‘norme’
En effet, selon des statistiques présentées par Box, un système de gestion de contenu dans le Cloud , et reprises par Silicon.Fr , l’activité liée au nombre de consultations de fichiers entre mars 2019 et mars 2020, aurait diminué dans la plage 9h-17h et augmenté en dehors de 20%
Cette même étude indique que la collaboration aurait progressé de 19 % pendant les deux dernières semaines de mars par rapport aux deux dernières semaines de Février. Les taux les plus élevés sont atteints dans l’administration publique (+ 142 %), l’éducation (+ 50 %) et la santé (+ 30 %).
L’entreprise américaine Dropbox s’est intéressé quant à elle à la bonne façon d’utiliser les outils numériques dans ce contexte de travail afin de faire évoluer les méthodes de communication et repenser la façon dont on “architecture” l’information.
Notons également que des efforts ont été également déployés de la part de La Commission européenne pour assurer un réseau internet stable
Avec toutes ces mesures prises et statistiques élaborées, peut-on qualifier le coronavirus de choc organisationnel aux effets durables ?
Je vous invite à consulter l’article de Silicon.Fr si vous souhaitez vous approfondir dans le sujet:
https://www.silicon.fr/covid-19-nouvelle-norme-travail-338476.html
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